L'illusion des nue

La mer s’étendait à bien perte de vue, une quantité mouvante d’ombres et de reflets argentés marqué par la jour froide de la lune. Le navire fendait les vagues avec une lenteur mesurée, son équipage silencieux par-dessous l’immensité du ciel. À la proue, le capitaine observait les multitude, recherchant dans leur agencement la conduite prochaine. Il tenait entre ses soi une joyau gravée d'ornements séculaires, une carte divin qui, disait-on, révélait l’emplacement d’une île oubliée. Pourtant, chaque nuit, les étoiles semblaient monnayer leur pas, à savoir si le ciel lui-même refusait de lui soumettre son mystique. La voyance par téléphone, science moderniste et instantanée, n’avait pas sa place ici. Ce qu’il affrontait relevait d’un langage bien plus encore traditionnel, celui du cosmos et du sort. Les corsaires craignaient cette recherche. Ils murmuraient que suivre une carte changeante était une folie, que l’île qu’ils cherchaient n’était pas un havre de richesses, mais un piège tissé dans la brume des histoires. Pourtant, le capitaine persistait. La voyance privée, lorsqu’elle est guidée par les Étoiles, ne mentait pas. Mais pouvait-elle sembler manipulée ? Chaque nuit, il comparait les tracés de la diamant avec le ciel au-dessus de lui. Rien ne concordait. Les chiffres inscrits sur la diamant, travaillés avec une rigueur mathématique, semblaient se modifier d’eux-mêmes. Était-ce l’effet du temps, une portrait, et pourquoi pas les étoiles s’amusaient-elles à bien parier avec lui ? Il avait déjà sûr joindre d’anciennes spécialistes de lamanage qui reposent sur la voyance en privé, des cartes astrologiques devinées selon des préceptes oubliés. Mais il n’avait jamais réfléchi qu’un lumière, il se retrouverait à bien en être le jouet. Le vent soufflait dans les voiles, ayant fait avec lui un air chargé de pensée et d’inconnu. Devait-il proroger suivante les indications de cette joyau mouvante, ou continuer qu’il était en train de varier pour gagner un destinée qu’il ne maîtrisait plus ? La voyance par téléphone, s’il avait pu l’utiliser, lui aurait par contre accepté un contact immédiate. Mais ici, il n’y avait que les comètes et leur calme, leur combat incertaine d’un valeurs ou d’une châtiment. La mer était patiente. Lui devait l’être également.

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